Je milite donc pour un retour, à juste proportion, et au delà des apports déjà versés, sur une responsabilité proportionnée du dirigeant. Cette responsabilité civile, étant associé à une limitation plus drastique du pouvoir délégué aux banques sur ce domaine.
Le flux financier est donc allé de l’état, vers les sociétés, vers les actionnaires pour la plus grande partie du flux. Actionnaires au sens large, c’est à dire souvent des personnes qui possèdent des valeurs et qui ont accès au crédit. Ces donc, in fine, ces personnes qui ont pu avoir accès à de l’argent frais, et donc à faire fonctionner les entreprises. Nos entreprises du groupe, dédiées au propriétaire particulier se portent donc comme un charme !
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